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Après 25 ans de campagnes, le colonel baron Hurel est placé en non-activité sous la Restauration, il se retire dans l'anonymat à Acon, son pays natal. Il revient à Paris pour s'y marier en 1818 avec Gabrielle Louise Bathilde Augustine de Montgaillard, fille de la comédienne Marie Louise Contat (1770-1846) et du Comte Jean Gabriel Maurice Roques de Montgaillard (1761-1825).
Ce n'est qu'à l'âge de 67 ans en 1841 qu'il est rendu à la vie civile, il demeure alors 4 rue Favart Paris 2e (proche de l'Opéra comique), où il décédera en 1847.

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Depuis, chanteuse bilingue, elle connaît la consécration internationale avec "Pour que tu m'aimes encore" suivi de nombreux autres succès. Elle participera aussi à la comédie musicale "Starmania" de Luc Plamondon et Michel Berger. Le 25 janvier 2001, vient au monde René-Charles dans un hôpital de Palm-Beach (Floride), né de son mariage avec son menton René Angélil. Le baptême sera célébré devant des milliers de spectateurs à Montréal.
L'un des ancêtres de Céline Dion ne serait autre que Robert de Mortain, décédé à Grestain (aujourd'hui Fatouville-Grestain) le 8 décembre 1090, fils de Robert 1er, duc de Normandie, et frère de Guillaume le Conquérant ! Plus près de nous, elle descend de Charles Jobin, né vers 1625 à Amfreville sous les Monts, époux de la vendéenne Marie Rousseau et décédé à Charlesbourg (Québec). Parmi ses ascendants également, Françoise Jobin, née elle aussi à Amfreville sous les Monts, morte à Champlain (Québec), et soeur de Charles.
Céline Dion est six fois cousine avec Luc Plamondon, dix fois avec Lynda Lemay, et vingt-huit avec Madonna.

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Son fils, Michel Pierre Hubert-Descours (1741-1814) étudie la peinture auprès de son père puis à l'École Royale de dessin de Rouen, auprès de Deshays. En 1772, il obtient le prix de la classe de dessin à l'Académie de Rouen. Il suivra la voie ouverte par son père mais dans une veine plus simplifiée.

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Académicien Goncourt en 1926


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Le patronyme MÉRIMÉE est très répandu en Pays d'Ouche. Augustin FRESNEL et Prosper MÉRIMÉE sont cousins germains. Issu d'une famille paysanne, leur grand-père commun François MÉRIMÉE est intendant du maréchal de BROGLIE. Lors de son départ pour l'Emigration, celui-ci lui confie, ainsi qu'à son fils Charles François, une procuration avec pouvoir de "gouverner et administrer tous ses biens, terres et revenus en la province de Normandie et spécialement à Broglie". Le père de Prosper MÉRIMÉE est l'auteur d'un traité, "De la peinture à l'huile ou Des procédés matériels employés dans ce genre de peinture depuis Hubert et Jan Van Eyck jusqu'à nos jours". Prosper MÉRIMÉE sera notamment inspecteur général des monuments historiques. Sous le second Empire, il devient sénateur et fréquente la Cour, tout en faisant connaître les oeuvres russes de Pouchkine, Gogol, Tourgueniev. "Carmen", grâce à l'opéra de Bizet, est célèbre dans le monde entier.

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Son frère Thomas CORNEILLE, auteur dramatique, également Académicien (1685), baptisé le 26 août 1625. Epouse le 5 juillet 1650 la belle-soeur de son frère Pierre.
Bernard LE BOVIER de FONTENELLE écrivain, neveu de Corneille est membre de l'Académie française (1691) et de l'Académie des Sciences (1697), mort à l'âge de 100 ans.
Charlotte CORDAY, révoltée par la proscription des députés girondins, poignarde le 13 juillet 1793 Jean Paul Marat dans sa baignoire pour mettre fin à la guerre civile. Guillotinée à Paris.

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Jean Edmond et François Michel LAUMONIER désireux de conserver les témoignages du passé se déplaçaient sur le terrain pour consigner leurs observations dans des carnets emplis de croquis cotés et d'esquisses : le premier porte la date de 1838, 20 carnets s'échelonnent ensuite jusqu'en 1870 année de la mort de Jean Edmond. François Michel en continue seul la tenue jusqu'en 1893. Les deux frères publient également dès 1841 une série de lithographies concernant le département de l'Eure. Ils prennent position publiquement pour empêcher la dégradation ou la destruction volontaire de monuments historiques menacés. Jean Edmond suscitera une pétition tendant à faire acheter par la municipalité le donjon de Conches qui aboutit à un franc succès qui lui valut d'être conseiller municipal et d'être réélu à toutes les élections successives. Il fut maire provisoire en 1863 et en 1868. Les notes des frères, très brèves parfois désordonnées mais très suggestives forment l'essentiel du fonds LAUMONIER. Les deux artistes y avaient adjoint 202 calques des vitraux de Conches exécutés entre 1840 et 1852. Ils avaient constitué également une petite collection de documents ayant trait à l'histoire de Conches et de sa région: fonds donné en 1969 aux archives départementales de l'Eure par Monsieur et Madame François DÉCORCHEMONT consultables dans la sous série 9J.

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L'abbé Laval entendit alors l'appel d'une plus grande misère à soulager. Monseigneur Collier, nommé vicaire apostolique de l'île Maurice, accepta ses services pour l'apostolat des Noirs récemment affranchis de l'esclavage. Il se mit à apprendre le créole, se fit un catéchisme de base et repéra parmi les affranchis le petit groupe de ceux qu'il pourrait former pour qu'ils deviennent ses aides.
Le Père Laval fit construire de petites écoles de brousse et des centres de prière à travers le pays. D'abord seul puis secondé par d'autres missionnaires, sut guérir et remettre debout, physiquement et moralement tout un peuple que les nantis se plaisaient à considérer comme marginal. En 1854, le choléra éclata à Maurice et très vite les hôpitaux furent complets. Cette épidémie causa 15 000 morts dont 4 000 à Port-Louis. Le Père Laval, en excellent organisateur se dévoua à l'extrême pour les malades et les mourants. Il en fit de même lors de l'épidémie de variole, elle aussi très meurtrière en 1856. A son décès, après 23 ans sur l'île, la population multi-raciale lui rend un très grand hommage. Mgr Margeot, évêque de Port-Louis, dit qu'il reste le symbole de l'unité mauricienne dans sa diversité culturelle, raciale et religieuse. Il repose dans l'église Sainte Croix près de Port Louis.Il est béatifié par le pape Jean-Paul II le 29 avril 1979, ce qui donne lieu à une grande fête à Pinterville. Depuis, chaque année, le deuxième dimanche de septembre, a lieu dans la commune une messe en plein air réunissant de nombreux Mauriciens de France et de l'île Maurice.

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Pour se différencier de son frère Marcel, et en référence à son frère Jacques, Raymond Duchamp signe ses oeuvres DUCHAMP-VILLON. Ses premières expositions ont lieu en 1905 au Salon d'automne et à la Galerie Legrip à Rouen avec son frère Jacques.
Deux ans plus tard, ils déménagent pour Puteaux où les trois frères Duchamp font partie des réunions régulières du groupe d'artistes et de critiques connu sous le nom de Groupe de Puteaux. La réputation de Raymond est telle qu'il est nommé membre du jury de la section sculpture du Salon d'automne de 1907 Il jouera un rôle majeur dans 'avènement du cubisme. Affecté aux services médicaux de l'armée française pendant la première guerre mondiale, il parvient malgré tout à continuer sa sculpture principale, le Grand Cheval, dont un original est aujourd'hui exposé au Art Institute of Chicago. Fin 1916, il contracte la fièvre typhoïde. Il est évacué à l'hôpital militaire de Cannes où il meurt.
Grand iconoclaste du XXe siècle, inventeur du ready-made, Marcel DUCHAMP est l'un des artistes majeurs du siècle. En signant des objets manufacturés, il a bouleversé les codes de la création et de la commercialisation de l'art. Il a interrogé la signature de l'artiste, le statut de l'oeuvre d'art. La carte postale de la Joconde moustachue intitulée "L.H.O.O.Q." ("Elle a chaud au cul") ou la fameuse "Fontaine" (en réalité un urinoir érigé au rang d'oeuvre d'art), sont deux exemples célèbres témoignant du caractère iconoclaste et provocateur de Duchamp. Ses premières oeuvres importantes, datées des années 1910, témoignent de l'influence de Cézanne. Le Nu descendant un escalier Ne2 est exposé au Salon des Indépendants mais il est rapidement sommé de le décrocher. Cet épisode le marquera profondément. En 1913, il monte une roue de bicyclette sur un tabouret et le "Nu descendant un escalier" fait scandale à New York. Deux ans plus tard, il s'installe à New York et rencontre Man Ray. Ils resteront amis toute leur vie. Duchamp retourne en Europe après la guerre et rejoint le groupe Dada. Il meurt en 1968.
Les premières oeuvres de Suzanne DUCHAMP sont d'inspiration impressionniste et cubiste. Après un bref mariage elle s'installe dans le quartier parisien de Montparnasse pour se rapprocher de son frère Marcel et développer sa carrière artistique. Sa première exposition majeure à l'âge de 22 ans a lieu au Salon des Indépendants de Paris. La première de ses oeuvres dadaïstes
paraît après la guerre. Achevée en 1919, Multiplication brisée et rétablie est un exemple typique de cette période. La même année, elle épouse le peintre Jean Crotti, dont elle va influencer la peinture.

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En 1890 il obtient 3 seconds prix et est engagé à l'opéra de Paris ou il débute dans le rôle titulaire du Faust de Charles GOUNOD (il tiendra ce rôle plus de 300 fois) En 1891 il est premier ténor et jusqu'en 1903 il participera à de nombreuses créations dont : En 1893 "L'or du Rhin", en 1894 "Othello", et en 1897 "La damnation de Faust". En 1903, souffrant de problèmes de gorge, il met fin à sa carrière sur scène, se consacrant désormais à l'enseignement et au phonographe. Il a enregistre plus de 300 faces publiées d'abord sur cylindres puis sur disques, entre 1902 et 1928 toutes chez Pathé. Il avait épousé en 1894 à Paris la cantatrice Albertine CHRETIEN dont il eut deux filles. Albert VAGUET est décédé en 1943 à Pau ou il s'était retiré et c'est dans le cimetière de cette ville qu'il repose.

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En juin 1793, la Convention décide l'arrestation des Girondins. Proscrit, BUZOT gagne Evreux puis Caen, où il entreprend de soulever la Normandie contre le centralisme parisien. Le mouvement qu'il anime est resté sous le nom de Fédéralisme, mais la révolte échoue au château de Brécourt, près de Pacy-sur-Eure, dans un semblant de combat resté sous le nom de "bataille sans larme". Le même jour, Charlotte CORDAY assassine MARAT à Paris. BUZOT s'enfuit en Gironde où, pendant un an, il se cache dans des souterrains à Saint-Emilion. Traqué par ses ennemis, il se suicide le 8 juin 1794 avec ses amis PÉTION et BARBAROUX. Les restes de leurs corps, dévorés par les loups, seront retrouvés un peu plus tard.
Les relations sentimentales de BUZOT avec Manon PHLIPON, plus connue sous le nom de Madame ROLAND, l'égérie des Girondins, figurent parmi les plus romantiques. Elle-même emprisonnée, elle lui écrit de très belles lettres, mais périt sur l'échafaud le 8 novembre 1793. BUZOT n'aura pas d'enfant de son mariage. Le petit-fils de sa soeur, Alphonse LECOINTE, sera gouverneur de Paris de 1881 à 1884, et sénateur de l'Eure de 1882 à 1890. Les Mémoires de BUZOT seront publiés en 1823.
Voir aussi François Buzot, un Girondin normand, par Jean BARILLER (Société Libre de l'Eure)

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La soeur cadette de Maurice LEBLANC, Georgette, est une célèbre cantatrice, intime de l'écrivain belge, prix Nobel de Littérature, Maurice MAETERLINCK. La soeur aînée, Jeanne, aura une petite-fille qui épousera l'économiste Bertrand de JOUVENEL, fils du ministre Henry de JOUVENEL, deuxième mari de la romancière COLETTE. Le mois même de la mort de Maurice LEBLANC, paraît la dernière aventure de son héros, "Les milliards d'Arsène Lupin". Maurice LEBLANC avait baptisé "Clos Lupin" sa demeure à Etretat. Ses descendants donneront à leur résidence du midi de la France le nom de "Mas Lupin".
Voir aussi Maurice LEBLANC, Arsène Lupin malgré lui, par Jacques DEROUARD (Séguier).

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Il est élu successivement conseiller municipal d'Evreux en 1892 (constamment réélu), 1er adjoint au maire en 1899, maire d'Evreux et conseiller général en 1904 (constamment réélu). Son décès le 17 janvier 1936 en cours de mandat donna lieu à des obsèques grandioses dont un immense cortège funèbre à travers la ville.Son ascendance peut être remontée jusqu'à Jean OURSEL, charron, natif de Bolbec-en-Caux, qui épouse en 1686 au Bec-Thomas Anne CHANTELOT.

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Pendant une mise en disponibilité, il épouse en 1795 la fille d'un voisin de ses parents, Marie Françoise Félicité RENAULT, née à Gisors, décédée à Paris en 1811, d'où une fille Victorine Félicité née en 1797, morte du choléra en 1832 à Gisors, épouse en 1822 de François Alexandre COMMECY (1799-1849), fils de notaire.


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Son frère Casimir DELAVIGNE, né en 1793 au Havre devient célèbre à 25 ans avec un recueil de poèmes patriotiques, Les Messéniennes. Il est alors, avec Béranger, le poète national vanté par les libéraux. Son théâtre s'ouvre au romantisme: "Les vêpres siciliennes" (1819), "Marino Faliero" (1829), "Louis XI" (1832), "Les enfants d'Edouard" (1833), "Don Juan d'Autriche" (1835), "La fille du Cid" (1840), etc. Ses comédies de moeurs et ses chansons, ne manquent ni de verve ni d'esprit.
Académicien français en 1825.
En 1833, il refuse de se présenter à la députation au siège du maire d'Evreux, décédé, du MEILET. Il répond à ses amis : "...Je ne puis renoncer sans un vif sentiment de regret à une distinction qui m'aurait rendu si justement fier, celle de représenter un des départements les plus éclairés de la France et de remplacer un homme dont la vie politique et privée a laissé tant d'honorables souvenirs...".

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Son chef d'oeuvre reste le tunnel sous la Tamise. En récompense il est fait chevalier de l'Empire britannique en 1841 et devient Sir Marc. Son fils Isambard KINGDOM BRUNEL (1806-1857) également ingénieur et chevalier de l'Empire britannique est l'auteur d'immenses avancées dans la locomotion terrestre (chemin de fer) et maritime. Il est notamment le créateur de trois grands navires : le Great Western (1837), le Great Britain (1843), le Great Eastern (1857). Il devient Lord BRUNEL.

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C'est lors d'une garnison à Auxonne que Paul Alexandre naît en 1862. Il entre à l'École Militaire de Saint Cyr en 1881. Il est affecté au 1er Régiment des Tirailleurs Algériens puis en 1886 au 4ème Régiment de Tirailleurs Tonkinois. Il est blessé à l'oreille droite d'un coup de feu dans une reconnaissance aux environs du poste de Dindav au Tonkin, blessure qui s'est aggravée par manque de soin durant la guerre de 14-18 et a entraîné une surdité et une paralysie faciale partielle. Il est fait Chevalier de la Légion d'Honneur à cette occasion.Il alterne service à l'État Major et service à la Troupe. Il se retrouve à la tête du 39ème régiment d'Infanterie de Rouen en 1912. En 1914 lors d'un combat à Escardes (Marne) il est atteint par une balle au genou droit. Il enfonce la défense allemande en Champagne et est fait Commandeur de la Légion d'Honneur en 1915. A l'Armistice il est nommé Commandant des Troupes alliées en Bulgarie. Général de division en 1915, il est mis en disponibilité en 1919 et placé sur sa demande dans la section de réserve en 1921.

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Après avoir soigné les malades de la peste à Marseille en 1720, Jacques DAVIEL est chirurgien des galères du roi puis démonstrateur d'anatomie et de chirurgie à Marseille en 1738. Il est reçu dans plusieurs cours d'Europe. Il devient membre de l'Académie royale de chirurgie. Le 21 avril 1745, il tente l'opération qui va faire sa gloire : l'extraction du cristallin. Il devient chirurgien oculiste de Louis XV en 1749. Son fils Jacques-Henri, également chirurgien, meurt en 1758.
Son petit-cousin Alfred DAVIEL, avocat, magistrat, est, en 1851, ministre de la Justice puis, en 1854, sénateur de l'Empire et premier président honoraire de la Cour d'appel de Rouen. Il a laissé des études, notamment sur la coutume de Normandie.
André DAVIEL, petit-neveu d'Alfred, est plus connu sous son pseudonyme Jacques HÉBERTOT. Metteur en scène, poète, dramaturge et journaliste, directeur du Théâtre des Champs-Elysées, de la Comédie des Champs-Elysées, du Théâtre des Arts rebaptisé Théâtre Hébertot. Parmi ses oeuvres : « Poèmes normands », « La terre qui chante », « Polyphème victorieux ».

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JEAN perfectionne les bourdons et la musette. Son fils NICOLAS : facteur de flûtes et de hautbois, est le père de deux virtuoses : LOUIS, flûtiste à la cour jusqu'en 1714, et NICOLAS dit COLIN, hautboïste, auteur d'un Recueil de bransles pour violons et hautbois - Un autre fils de Jean, MARTIN, est le père de JEAN, hauboïste et musette du roi, auteur de Pièces pour la musette.
Le plus illustre membre de la famille est Jacques HOTTETERRE, dit LE ROMAIN. Musicien ordinaire de la Chambre, il est à la fois l'un des premiers virtuoses de la flûte et un théoricien renommé. Il est l'auteur de Pièces pour la flûte traversière avec la basse (1708-1715), Sonates en trio (1712), et de menuets, de duos, Pièces par accord pour la musette (1722) La Guerre, Concert du rossignol, etc, ainsi que de pièces vocales. On lui doit plusieurs traités : Principes de la flûte traversière, de la flûte à bec, et du hautbois (1707), L'art de préluder (1719), Méthode pour la musette (1737)
Voir le musée de La Couture-Boussey.

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Les origines de la Société NOBLET-LEBLANC remontent à plus de 250 ans. C'est sous le règne de Louis XV que Denis NOBLET créa une petite usine d'instruments à vent à La Couture. Ce village est considéré comme "le berceau des instruments à vent". A cette époque, les clarinettes, hautbois et flûtes sont réalisés en bois de buis ("boussey" lieu où poussent les buis) et environ la moitié de la population du village travaille à la fabrication des instruments à vent. Plus tard, le buis sera remplacé par l'ébène en provenance du Mozambique.
Après Denis NOBLET, la société est dirigée par Nicolas Denis NOBLET, Nicolas Prudent NOBLET et Denis Toussaint NOBLET. Ce dernier n'ayant pas d'héritier vend sa société à son meilleur ouvrier Georges LEBLANC en 1904. Celui-ci débute alors le nouveau XXème siècle avec le riche héritage du "savoir-faire" de la famille NOBLET. Georges LEBLANC, excellent technicien et très bon clarinettiste, s'attache à moderniser la fabrication. Il s'adjoint un collaborateur précieux: son fils Léon, Premier Prix de Clarinette du Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris. Devant le succès des instruments d'étude NOBLET, ils décident ensemble de créer une nouvelle gamme d'instruments de haute qualité, destinée aux artistes. Ainsi naît la marque LEBLANC en 1921.

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Le 24 février 1848, il devient président du Gouvernement provisoire de la République. Il exerce ainsi pendant quelques mois les fonctions de premier Président de la République française.DUPONT de L'EURE est issu d'une famille de bourgeois. Ils exercent des métiers liés au commerce de la viande, les troupeaux étant acheminés depuis le Pays d'Auge vers Paris via Le Neubourg. Les plus opulents sont marchands de boeufs, d'autres sont bouchers, commissionnaires, conducteurs, etc. Le grand-père Jean DUPONT (ne 8) et l'un de ses frères épousent des filles du procureur fiscal du Neubourg.
DUPONT de L'EURE lui-même épouse Elisabeth Pauline MORDRET, fille d'un avocat, bailli d'Igoville, procureur du district de Louviers. Le couple aura deux enfants : Pauline DUPONT (1819-1893), sans alliance ni postérité, et Charles DUPONT (1822-1872). Celui-ci sera polytechnicien. Après une carrière militaire dans le Génie, Il se présente plusieurs fois, sans succès, aux élections législatives dans l'Eure sous le Second Empire. Il est enfin élu député en 1871. Mais il meurt, lui aussi sans postérité, victime à Paris d'un accident de la circulation.

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Elle fait une carrière internationale dans la chanson, le cinéma, la danse, la mode, les affaires et les scandales. Elle est la chanteuse qui a vendu le plus de disques au monde, plus de 320 millions !
Elle descend de Louis Coulombe né au Neubourg vers 1641 et décédé à L'Île d'Orléans (Québec) en 1720. Elle descend aussi de Jean Barette, né vers 1630 à Beuzeville et mort à Sainte Anne de Beaupré (Québec). Une autre de ses ancêtres de l'Eure, Françoise Jobin qui est aussi celle de Céline Dion. Madonna est cousine au moins 12 fois avec Lynda Lemay, 22 avec Luc Plamondon, et 28 avec Céline Dion !...

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Très jeune Nicolas POUSSIN s'initie au dessin en copiant des estampes de Raphaël. Puis il s'intéresse à la sculpture antique. Après une vie difficile à Paris il part en 1624 pour Rome où il va passer la majeure partie de sa vie. Il ne revient à Paris qu'en 1640 où il est nommé premier peintre du roi Louis XIII obtenant ainsi la direction de tous les ouvrages de peinture et d'ornements des maisons royales. Rebuté par les attaques de ses rivaux il retourne en 1642 à Rome qu'il ne quittera plus.
Ses oeuvres sont surtout d'inspiration biblique et historique: "l'enlèvement des Sabines" mais aussi mythologiques et littéraires: "Vénus montrant ses armes à Énée", "Écho et Narcisse". Il peint aussi beaucoup la campagne romaine. Il s'affirme comme le maître incontesté du classicisme français avec notamment la série des "Quatre Saisons" qu'il peint à la fin de sa vie en 1665. Il est inhumé à Rome où un mausolée a été élevé sur sa tombe par Chateaubriand ambassadeur de France.
S'il n'a pas eu d'enfants, la famille Poussin est toujours représentée par la descendance de Michel Poussin son cousin.

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Installé à Paris, il s'élève de 25 m dans un appareil composé de deux vastes ailes avec l'aide d'un contrepoids de 10 kg glissant le long d'un mât. Il annonce en 1781 qu'il s'envolera bientôt dans les airs grâce à son "vaisseau volant ayant la forme d'un oiseau, muni de six ailes et de gouvernail". Mais, le 5 mai 1782, il ne pourra s'envoler et sera la risée des spectateurs.
Le 4 juin 1783, les frères MONTGOLFIER font partir à Annonay le premier globe aérostatique non monté, gonflé à l'air chaud. Le 2 mars 1784, BLANCHARD effectue sa première ascension au départ du Champ de Mars avec un engin gonflé à l'hydrogène. Le 7 janvier 1785, avec son mécène américain, le docteur JEFFRIES, il s'envole de Douvres, pour atterrir dans la forêt de Guines, près de Calais, après 2 h 25 mn. Honoré dans toute l'Europe, il réalise de nombreuses démonstrations (en particulier des essais de parachute), et après une 44e ascension à Lübeck avec son fils Julien Joseph, il part pour l'Amérique où celui-ci périt lors d'une tornade qui détruit son atelier en 1796.
Ruiné, BLANCHARD rentre en Europe et continue ses démonstrations. Lors d'un vol à La Haye en février 1808, il est frappé d'apoplexie et fait une chute d'une vingtaine de mètres. Il en mourra le 7 mars 1809 à Paris. Il avait effectué 60 ascensions en vol libre. Sa seconde épouse, Madeleine Sophie ARMANT, de La Rochelle, effectue 66 ascensions à partir de 1805. Elle meurt en s'écrasant à Paris le 6 juillet 1819, une fusée de feu d'artifice tirée depuis son ballon gonflé à l'hydrogène ayant enflammé celui-ci.

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En 1937 il s'engage dans l'Armée de l'Air à Angers où il obtient son brevet de pilote militaire. En 1939 il est élève moniteur à Salon de Provence, puis moniteur de chasse à Bergerac. Démobilisé en 1940 il rentre aux Andelys. En 1941 il franchit la ligne de démarcation et réussit à gagner l'Algérie où il réintègre l'Armée de l'Air. Il y fait la connaissance de deux autres pilotes Marcel Albert et Albert Durand. Ensemble ils rejoignent l'Angleterre où Ils s'entraînent à piloter le célèbre Spitfire et sont versés dans les Forces aériennes de la France Libre. Ils sont présentés au Général de Gaulle. En juin 1942 est formé un groupe de chasse pour aller combattre en Russie. Après un long voyage via le Liban, ils arrivent à Ivanovo, à 250 kilomètres à l'est de Moscou et choisissent, parmi de nombreux appareils, le Yak, simple, robuste, maniable et adapté aux conditions climatiques russes. Nommé sous-lieutenant en 1943 Marcel LEFEVRE reçoit son appareil et le baptise « le père Magloire ». Outre les missions de combat on lui confie la formation des pilotes. Le 1 er Mai il abat son premier avion ennemi. Il reçoit l'Ordre de la Guerre pour la Patrie. Après d'autres victoires, il est nommé lieutenant et chevalier de la Légion d'Honneur. En 1944, il est fait Compagnon de la Libération par le Général de Gaulle, est décoré de l'Ordre du Drapeau Rouge et de l'Ordre de Souvorov. Le 28 Mai 1944, il a des ennuis au cours d'un vol, au moment d'atterrir son avion s'embrase, il saute de l'habitacle en flammes. Grand brûlé, il est transporté par avion à l'hôpital de Moscou où il décède le 5 Juin 1944 veille du débarquement en Normandie. Comme les autres pilotes morts en Russie, il est enterré à Moscou au pied du monument, élevé dans le cimetière des étrangers à la mémoire des soldats de la Grande Armée de Napoléon. A 26 ans, il totalise 1300 heures de vol et 128 missions de guerre.

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La première représentation a lieu le 15 août 1793 avec succès. Mais la directrice est bientôt accusée d'avoir distribué des médailles royalistes. Arrêtée en 1794, elle reste emprisonnée 10 mois. Les procès qu'elle engage ensuite ne lui apportent pas les indemnités qu'elle souhaite. Chargée par le Premier Consul de réorganiser l'opéra italien, elle s'installe au Théâtre Olympique puis au Théâtre Favart. L'entreprise périclite et La MONTANSIER est poursuivie. Et c'est dans la gêne qu'elle meurt à l'âge de 90 ans, ayant habité pendant ces années un appartement du Palais Royal situé au-dessus du restaurant « Le Grand Véfour ».

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Parmi les descendants ou apparentés : MOLLIEN (ministre du Trésor public et comte d'Empire), Jean Baptiste Nicolas LEMASSIF d'OYNEL (écuyer), Antoine LE FAUCHEUX des AUNOIS (membre du corps législatif, préfet et baron héréditaire), Joseph Michel DUTENS (historien de Louviers, membre de l'Académie des Sciences morales et politiques), Michel PIÉTON-PRÉMALÉ (fabricant de draps à Louviers) et son fils Jean Baptiste Louis (aide de camp du prince MURAT), Paul DIBON (historien de Louviers), Joseph L'HOPITAL (écrivain, maire d'Angerville-la-Campagne), Roger JOURDAIN (artiste peintre) et son frère Edmond (officier d'ordonnance de NAPOLÉON III), Auguste Félix de FONTENAY (fils du maire de Rouen, et lui-même maire de Louviers), Pierre Louis comte ROEDERER (sénateur, pair de France, comte d'Empire)...A Louviers, une chaussée et un établissement scolaire perpétuent le nom de Jean Baptiste DECRÉTOT.
Les collatéraux sont représentés par les rues DIBON, DUTENS, de FONTENAY, LEMASSIF.

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Il obtient le Grand Prix d'Exécution et Improvisation des Amis de l'Orgue (1929), et le Grand Prix de Composition de la même association (1930). Après avoir été suppléant de ses maîtres Charles TOURNEMIRE à Sainte-Clotilde et Louis VIERNE à Notre-Dame, il devient organiste titulaire du grand orgue de St Etienne du Mont (1930). Suppléant de Marcel DUPRÉ à la classe d'orgue du Conservatoire de Paris (1943), il y est nommé professeur d'harmonie (1944). Titulaire du Grand Prix musical de la Seine (1956). Il donne de très nombreux récitals à Paris, en province, à l'étranger. Son oeuvre d'orgue comporte notamment un tryptique sur le Veni Creator, Suite, Prélude et Fugue sur le nom de Jehan Alain. On lui doit aussi trois danses pour l'orchestre, et un Requiem qui sera joué à la cathédrale Notre-Dame de Paris pour les obsèques du président de la République François MITTERRAND.

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En 1872, LEPERLIER, président de la Société des Beaux-Arts d'Alger lui procure un poste de professeur. Après cinq ou six ans, il plante son chevalet un peu partout en France : grands moulins de Flandres, Auvergne d'où il rapporte la célèbre Neige présentée au Salon de 1889, Paris, l'estuaire et ses navires géants, bords de Seine aux Andelys, La Bouille, Rouen et ses clochers, Risle maritime à Pont-Audemer, Evreux, Hondouville où un demi-frère est commerçant et maire.En 1878 il rencontre MONET, SISLEY et PISSARO, ses compagnons de lutte que la critique surnomme par dérision "Les Impressionnistes". Par une intuition rapide et sûre, il détermine l'harmonie dominante, le ton spécial de l'objet, du lieu et de l'heure qui va former l'atmosphère propre du motif à rendre. Ensuite, il coordonne toutes les autres mini-harmonies pour obtenir l'unité d'ensemble, et, par un délicat coup de pinceau de martre, il sait relier les tons et les ombres, comme un pastel. . Il avait épousé en 1873 à Rouen Marie GUILLOUX, qui décède en 1894, fille d'un sculpteur ornemaniste et soeur des statuaires Alphonse et Albert. Il épousera ensuite en 1921 sa belle-soeur, Alice GUILLOUX, veuve LAMBIN. C'est alors que la paralysie le frappe. Elle assombrira ses dernières années. Officier de la Légion d'Honneur.

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Ces oeuvres vont conquérir la France et l'Amérique. Il écrit aussi de multiples chansons pour de nombreux artistes québécois et européens : Robert Charlebois, Julien Clerc, Nicole Croisille, Diane Dufresne, Françoise Hardy, Johnny Hallyday, Catherine Lara, Diane Tell, Fabienne Thibeault etc. Il écrit aussi pour Céline Dion, elle-même originaire de l'Eure.
Etienne Letellier, l'un de ses ancêtres épouse à Québec en 1661, Geneviève Mézeray, d'une famille de Thury-Harcourt (Calvados). Nous retrouvons une autre aïeule, Françoise Jobin... Parmi les collatéraux partis en Nouvelle-France figurent aussi Jeanne Quelvé mariée à Québec à Jean Baptiste Brassard. Ils seront aussi les aïeux de Céline Dion. Luc Plamondon est 4 fois cousin avec Lynda Lemay, 6 fois avec Céline Dion, 22 avec Madonna.

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Il créée en 1835 la première agence d'information mondiale sous le nom "Agence des feuilles politiques, correspondance générale", qui fournira aussi des dépêches de France aux pays étrangers. Paul Julius REUTER avait travaillé pour lui avant de fonder en 1851 sa propre agence, Reuters, à Londres.Charles Louis HAVAS est également un précurseur en matière de publicité, branche créée en 1852. Les deux branches sont séparées en 1940, la branche information devient "Office Français d'Information" , qui prend le nom actuel "Agence France-Presse" après la Libération, par des journalistes membres de la Résistance, avec un nouveau statut en 1957, devenu aujourd'hui un acteur important du multimédia dans le monde entier, couvrant 165 pays.

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A la fin de sa vie, Hyacinthe LANGLOIS est directeur de l'École des Beaux Arts de Rouen.Il est inhumé en 1837 au cimetière monumental de Rouen, il a pour stèle un authentique menhir la "Pierre d'état" déplacé pour l'occasion de la forêt de Petit Couronne orné d'un médaillon par le sculpteur David d'Angers. Le même médaillon figurait sur le monument érigé en 1858 à Pont de l'Arche détruit pendant la dernière guerre

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Comme maire de sa commune, le docteur AUZOUX met en place une compagnie de sapeurs-pompiers, une fanfare, et fait construire l'école et la mairie. Parmi les souscripteurs du monument érigé en 1890 par la Société Libre de l'Eure figure Dom Pedro, empereur du Brésil.
Le Musée de l'Écorché d'Anatomie au Neubourg présente une partie des différentes pièces d'art médical du Docteur AUZOUX.

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Gaston LENÔTRE est d'abord pâtissier à Pont-Audemer en 1945. Il s'installe en 1957 à Paris où il crée une entreprise de service traiteur. En 1971, il fonde L'École LENÔTRE de perfectionnement gastronomique. Il dirige le prestigieux restaurant Le Pré Catelan, dans le XVIe arrondissement, depuis 1976. La renommée de Gaston LENÔTRE est internationale et de nombreuses boutiques à son enseigne sont ouvertes en France et dans le monde entier. Il est l'auteur de nombreux ouvrages sur la pâtisserie et la confiserie, notamment Faites votre pâtisserie avec Gaston Lenôtre (1975), Faites la fête comme Gaston Lenôtre (1983), L'oeuf (1988), Desserts traditionnels de France (1991), Versailles au temps des rois (1995).

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Son ancêtre Michel Fernet reçoit le baptême en 1636 à Sainte Marguerite de l'Autel. Il sera sabotier au Québec où son patronyme se transformera en Fernette, Frenet et Frenette. Lynda Lemay descend aussi de Robert de Mortain !
Un membre de la famille, Philippe Chatel, dont la grand-mère maternelle, Geneviève Gamache, est née à Saint Illiers la Ville (Yvelines), près de Pacy, revient en France pour épouser à Saint Cyr du Vaudreuil en 1711 Catherine Duchesne dont les parents se sont mariés à Criquebeuf sur Seine en 1683.Lynda Lemay est 12 fois cousine avec Madonna, 10 fois avec Céline Dion, et au moins 4 fois avec Luc Plamondon.

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Elève de l'École normale supérieure, il suit les cours de Gustave BLOCH dont il continuera l'oeuvre. Successivement professeur aux facultés de Lettres d'Alger (1912-1920) et de Paris (1920-1937), directeur de l'École française de Rome (1937-1940), de l'École normale supérieure (1940), recteur de l'Académie de Paris (1940), ministre de l'Éducation nationale (1940-1941), professeur honoraire à la Sorbonne en 1951. Il se consacre à l'histoire de la Grèce ancienne et à celle du dernier siècle de la république romaine. On lui doit: "La loi de Hiéron et les Romains" (1904), "Histoire de l'ostracisme athénien" (1909), "Virgile et les origines d'Ostie" (1919), "Sylla ou la monarchie manquée" (1931), "Points de vue sur l'impérialisme romain" (1934), "César" (1936), "La vie quotidienne à Rome" (1939), "Aspects mythiques de la Rome païenne" (1941), "La basilique pythagoricienne de la porte latine à Rome" (1943), "Les secrets de la correspondance de Cicéron" (1948), "Souvenirs de sept ans" (1953)...
Académie des Inscriptions et Belles-Lettres (1930), Académie française (1955). Marié en 1908 avec Antoinette HILLEMACHER, fille d'un compositeur réputé, il aura six enfants. Il n'a jamais cessé d'aimer Verneuil: "Heureux les Vernoliens qui peuvent aimer la beauté de leur ville natale, respecter la grandeur de son histoire, garder vivant en eux l'esprit qui n'a cessé de l'animer au cours des âges ! ... Oui, vraiment heureux les Vernoliens qui, nés sur une terre bénie peuvent en emporter partout l'amour et la fierté !" disait-il en mai 1957.

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En 1804, il devient colonel au 5e Dragons et fait partie de la Grande Armée : Wertingen puis Austerlitz où il sera blessé et son cheval tué sous lui. Après 1808, sa carrière se poursuit dans la gendarmerie et, en 1818, il est retraité Maréchal de camp honoraire. Il est fait commandeur de la Légion d'Honneur en 1806, puis chevalier de Saint-Louis en 1814. Il est fait Baron d'Empire en 1808, et son titre de baron héréditaire est confirmé par lettres patentes en 1830.Il aura deux filles et un garçon. Celui-ci, héritier du titre de baron, terminera sa carrière comme colonel de cuirassiers et épousera la fille du général PEREAU. Il aura à son tour trois enfants, dont l'aîné, Jean Pierre Henri, officier de cavalerie, deviendra à son tour Baron LACOUR.